(Maurice Zundel, la Pauvreté de Dieu, revue Foi Vivante, 1963)
« Notre Dieu ? C'est un Dieu inconnu, un Dieu inimaginable, un Dieu imprévu, un Dieu que les chrétiens n'ont pas encore commencé à reconnaître. Nous continuons à penser à Dieu comme on
pouvait y penser avant Jésus-Christ. On oublie qu'en Jésus-Christ tout a été renouvelé, qu'au travers de l'humanité transparente de Jésus-Christ, le vrai visage de Dieu s'est révélé, qui est le
visage de la pauvreté, le visage de la fragilité. Car si Dieu est pauvre, il est fragile ; si Dieu est pauvre, il est désarmé, car il n'a rien pour le défendre, il n'est que son amour. Et il
suffit de lui refuser le nôtre pour que rien ne se puisse accomplir. »
Cette année, c’est en compagnie de Maurice Zundel qu’un bout de chemin sera proposé au fil des « Grands Jours Saints »